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Buenos Aires et Uruguay

 

On dit de Buenos Aires qu’elle est la Paris d’Amérique du sud. En réalité Buenos Aires est moins bien que Paris, car il n’y pas la tour Eiffel. Cependant, c’est vrai qu’architecturalement les bâtiments ont parfois ce côté sympa qu’on retrouve dans les beaux quartiers parisiens.

 

Chaque quartier de la ville à son ambiance bien à elle : la Boca et ses maisons colorées, San Telmo plutôt bobo tango, Recoleta ville moderne, Palermo plein de bars et restos. Et à Buenos Aires il y a plein de musées. Sarah est super contente et Sylvain a mal aux jambes (oui c’est bien connu les musées ça fait mal aux jambes !). Et on va même au cimetière, qui rappelle un peu le Père Lachaise.

 

On retrouve là-bas Petu (qu’on avait rencontrée à Aldea Luna) qui nous fait visiter les alentours du rio et nous emmène à Tigre, une petite ville au bord de l’eau aussi. Et Rémi, un copain parisien qui habite ici depuis 3 ans, qui lui nous emmène plutôt dans les bars et restos. Pour le dodo, on fait du couchsurfing chez Carla et Javier, qui nous accueillent avec un bon asado (barbecue !).

 

Enfin comme c’est grand et qu’on tout voir, on fatigue. Et qu’est-ce qu’on fait quand on est fatigué ? On part en vacances ! Allez hop, on prend le bateau et on arrive en Uruguay. Pour nous ça ressemble un peu à l’Argentine, mais il ne faut surtout pas le dire à un uruguayen, car en fait c’est très très différent. Mais on n’a pas plus de détails à donner… Le petit dicton rigolo : les mexicains descendent des aztèques, les péruviens des incas, et les urugayens… des bateaux pardi ! Vous l’aurez donc compris, ici, c’est l’Europe.

 

On est invité par Iael et Oren (un couple d’Aldea Luna aussi) à un super barbecue chez les parents de Iael le samedi soir à Montevideo. Et le dimanche, carnaval ! Ici ce n’est pas dans la rue que ça se passe, mais sur scène. Comme ça dure 40 jours, il faut bien laisser les rues tranquilles.

 

Et après, direction la plage. On prend le bus et on descend à la Punta del diablo. Petit village avec de belles plages de sable fin et chaud comme on les aime. Une journée de marche, une journée de vélo, un petit peu de baignade, et c’est déjà la fin des vacances. On se remet en marche pour Santiago du Chili. 25h de bus si tout se passe bien. Mais comme ça ne se passe pas bien on va mettre 51h. Et oui, plus de 2 jours assis ! Tout ça  à cause de la pluie, qui a fait tomber un pont. Et apparemment des routes qui permettent de traverser les Andes entre le Chili et l’Argentine, il n’y en a pas beaucoup, car le détour est long !

 

 

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